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Le Magic domine les 76ers privés d’Embiid (104-99)


© Getty Images / Fernando Medina

Les 76ers, privés de leur pivot vedette Joel Embiid (blessure au pied, quatrième match d'absence), se sont inclinés contre le Magic. L’absence d’Embiid a laissé un vide que le Magic a exploité pleinement, dominant au rebond (41-29) et marquant 54 points dans la peinture contre seulement 34 pour Philadelphie.

Premier quart-temps : Orlando prend l'avantage

Le Magic a pris un bon départ, mené par Cole Anthony (11 points dans le quart-temps) qui s’est montré agressif dès les premières possessions. Philadelphie, porté par un Tyrese Maxey combatif (13 points dans le quart-temps), a tenté de limiter les dégâts, mais la défense d’Orlando a su contenir les assauts.

Deuxième quart-temps : Philadelphie réagit

Malgré l’absence d’Embiid, les 76ers se sont appuyés sur Paul George (25 points, 10 rebonds, 6 passes) pour rester dans le match. Son expérience a permis de stabiliser l’attaque des Sixers, et Maxey a continué d’alimenter le tableau d’affichage. Orlando a cependant conservé un léger avantage grâce à un Paolo Banchero polyvalent (20 points, 8 rebonds, 6 passes).

Quatrième quart-temps : Jonathan Isaac fait la différence

C’est dans le dernier quart que Jonathan Isaac a brillé. Sorti du banc, il a marqué 13 de ses 20 points durant cette période critique, ajoutant également 11 rebonds pour réaliser un double-double. Son impact des deux côtés du terrain a permis aux Magic de prendre une avance décisive.

Malgré les efforts des 76ers pour revenir, Orlando a pu compter sur Paolo Banchero, qui a planté le dagger à 30 secondes de la fin du match.

Analyse et conclusion

Orlando, porté par Cole Anthony, récupère la 4ème place devant Indiana. Avec le retour de Banchero, le Magic peut se permettre d’aller titiller les Knicks et le podium de l’Est si les blessures les laissent tranquille.

Philadelphie est toujours à la peine dans sa remontée vers les playoffs. Malgré un Paul George et un Tyrese Maxey au rendez-vous, l’absence d’Embiid a eu raison des hommes de Nick Nurse.