Les Wolves et un grand Rudy Gobert humilient les Lakers

Les Los Angeles Lakers, portés par un LeBron James très moyen, se sont lourdement inclinés face aux Minnesota Timberwolves sur le score de 109 à 80.

En difficulté depuis plusieurs matchs, les Lakers poursuivent leur chute. Les coéquipiers d’Anthony Davis ont subi une véritable correction face à des Timberwolves en quête de régularité.
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🇫🇷 Rudy Gobert domine dans la raquette face aux Los Angeles Lakers !

📊 17 PTS | 12 REB | 1 STL | 7/8 FG | 3/4 FT

— Lakers 80, Timberwolves 109 pic.twitter.com/QpJ4JWqzSQ

— Ball Time (@BallTimee) December 3, 2024

Un grand Gobert domine Davis et une belle performance collective des Wolves

Rudy Gobert a signé sa meilleure prestation de la saison avec 17 points et 12 rebonds. Il a été bien épaulé par Julius Randle (18 points), Naz Reid et Nickel Alexander-Walker (15 points chacun), ainsi que Donte DiVincenzo (11 points et 9 passes décisives). Malgré un Anthony Edwards discret (8 points à 3/13), le collectif des Wolves a fait la différence. Leur défense, clé de leur succès la saison dernière, semble retrouver ses marques après un début de saison hésitant.

🙃 LeBron James en travers !
❌ 0/19 à 3 points sur les 4 derniers matchs🏀 #NBAExtra pic.twitter.com/hUOwhjHmLK

— NBAextra (@NBAextra) December 3, 2024

Des Lakers très maladroits et un Lebron James en grande difficulté

Incapables de rattraper leur retard, les Lakers ont pâti d’un duo James/Davis inefficace (22 points à 8/30 au tir et 8 balles perdues à eux deux). LeBron James traverse une passe difficile avec un inquiétant 0/19 à trois points sur les quatre derniers matchs. À 40 ans, le King montre peut-être des signes d’usure, et une gestion plus prudente de son temps de jeu pourrait être nécessaire.

L’attaque des Lakers, qui affichait une moyenne de 117,3 points sur les 14 premiers matchs, est tombée à 102,4 sur les 7 derniers. Avec une défense déjà faible, ce déséquilibre se traduit par des matchs comme celui-ci. De plus, les 20 pertes de balle confirment un manque de fluidité dans les échanges. Un meneur gestionnaire pourrait soulager LeBron et améliorer l’organisation offensive.